Arpajon-sur-Cère (15)
Dernière mise à jour de l'article : mardi 13 septembre 2011
La commune d’Arpajon-sur-Cère est située dans le département du Cantal au Sud-Est d’Aurillac avec laquelle elle est limitrophe. La commune a été labellisée au niveau 1 de la Charte d’Entretien des Espaces Publics en juin 2012.
Type de structure : Mairie ;
Taille de la commune : de 25 à 50 km² ;
Nombre d’habitants : de 5000 à 20000 hab. ;
Année d’engagement : 2011 ;
Niveau d’engagement : 1 ;
Niveau de labellisation : 1 ;
Technique - désherbage thermique : Gaz ;
Technique - désherbage mécanique ou manuel : Balayage ; Binette et arrachage manuel ; Brosse sur débroussailleuse ; Herse et grille ;
Technique - préventif : Paillage / Bâchage ; Plantes couvre-sol ;
Autres techniques : Réaménagement ;
Outils de communication : Article de presse ; Bulletin municipal ;
Enjeux
Une banlieue aux portes d’Aurillac, chef lieu du Cantal, mais aussi une porte ouverte sur les champs et les bois, sur les belles rivières et les clairs ruisseaux, sur les joies et les plaisirs simples de la nature...
La commune d’Arpajon est en expansion continue depuis les années 50-60, le dernier recensement le confirme encore une fois.C’est une des rares communes du Cantal dont la population ait augmenté entre les divers recensements.Cela tient sans doute à sa situation privilégiée, ce qui l’amène à accueillir un certain nombre d’habitants dont le lieu de travail se situe au chef-lieu du département.
Ceci a entraîné de nombreuses constructions individuelles ou sous forme de lotissements, d’immeubles collectifs privés (copropriétés), ou publics (habitations à loyers modérés).
Objectif de l’engagement
L’eau : une ressource à préserver
L’eau est notre patrimoine commun. Elle doit donc faire l’objet de toute notre attention.
Si nous n’en manquons pas au robinet, si elle est aujourd’hui de bonne qualité, nous le devons aux efforts réalisés par la collectivité grâce aux investissements et aux progrès enregistrés dans le domaine de l’assainissement.
Nous ne pouvons pas en rester là car les sources de pollution n’ont pas disparu. Elles progressent en même temps que l’activité humaine.
La commune a décidé d’adopter une attitude plus vertueuse en limitant l’utilisation des engrais chimiques et des désherbants. Cette démarche n’obtiendra pas de résultats concrets sans l’adhésion de tous, du jardinier amateur au fleuriste de balcons.
Retour d’expérience
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