Saint-Pierre-de-Manneville (76)
Dernière mise à jour de l'article : vendredi 17 novembre 2017
Saint-Pierre-de-Manneville est une petite commune située dans l’agglomération de Rouen, dans la boucle de la Seine, en bordure de forêt de Roumare. Elle a fait l’objet d’un accompagnement technique en 2016 proposé par la Métropole Rouen Normandie en collaboration avec la FREDON et a été labellisée en juin 2017 au niveau 3.
Type de structure : Mairie ;
Taille de la commune : de 10 à 25 km² ;
Nombre d’habitants : de 500 à 1000 hab. ;
Année d’engagement : 2016 ;
Niveau d’engagement : 3 ;
Niveau de labellisation : 3 ;
Technique - désherbage thermique :
Technique - désherbage mécanique ou manuel : Binette et arrachage manuel ;
Technique - préventif : Enherbement volontaire de surfaces minérales ;
Autres techniques :
Outils de communication : Bulletin municipal ; Journée d’information, conférence, salon... ; Panneaux ;
[vert fonce]Enjeux[/vert fonce]
La commune n’est concernée ni par un captage d’eau potable ni par un périmètre de protection de captage. En revanche, la Seine constitue la limite ouest de la commune, qui est situé dans le lit majeur du fleuve. De plus, de nombreux points d’eau (mares, fossés, noues...) sont également présents sur le territoire communal.
Depuis plusieurs années, la commune a engagé une démarche de diminution de l’utilisation des produits phytosanitaires sur ces espaces, avec pour objectif « le zéro phyto ».
[vert fonce]Objectif de l’engagement[/vert fonce]
Aucun témoignage pour le moment.
[vert fonce]Retour d’expérience[/vert fonce]
La commune a mis en place plusieurs zones en gestion différenciée (une à trois fauches), y compris en plein centre du village (devant l’école et l’église).
Certaines zones minérales perméables sont laissées enherbées et entretenues désormais par tonte (chemins, allées).
Le cimetière ne fait plus l’objet de traitements phytosanitaires depuis 2016 et est actuellement entretenu à la binette, ce qui représente un temps-agent conséquent. Une végétalisation partielle du cimetière est prévue.
Pour les massifs, la municipalité projette de ne plus planter de fleurs annuelles en 2017 et de les remplacer par des vivaces.
Plusieurs actions de communication (panneaux sur site, article dans la gazette municipale, réunion publique) ont permis d’estomper les quelques plaintes et réclamations des habitants.